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Affichage des articles du novembre, 2013

Castel Sant'Angelo - la stufetta di Clemente VII

Blue Lion pubblicherà prossimamente una guida dedicata a Castel Sant'Angelo. Uno dei capitoli sarà dedicato  alla "stufetta" ovvero il bagno di Clemente VII . L'ambiente, un piccolo gioiello rinascimentale,  faceva parte delle sale realizzate sotto Giulio de' Medici  (1478-1534) assurto al trono ponitificale con il nome di Clemente VII e che ha regnato dal 1523 al 1534. Ne fece ampio uso durante l'assedio che subì all'epoca del Sacco di Roma ad opera delle truppe di Carlo V, quando il Papa si rifugiò nel castello per diversi mesi.  La stufetta non è accessibile al pubblico salvo per le visite guidate in italiano e inglese del « Castello segreto» organizzate dal Museo di Castel Sant'Angelo. Il Castello segreto prevede un itinerario esclusivo e affascinante nel cuore del monumento. La visita ha come tappe il Passetto di Borgo, ovvero il camminamento di 800 metri che connette il Castello ai Palazzi Vaticani; le Prigioni storiche; le Oliare, gli ambie

Victor Hugo aux Feuillantines

Début 2014 Blue Lion publiera un  nouveau guide dédié entièrement à Victor Hugo et Paris, un binôme indissoluble comme peu. Voici un aperçu du guide dont l'auteur, Patrick Maunand, organise des visites sur le thème: les détails sur ces visites se trouvent à la fin du texte. Les vertes Feuillantines ont bercé l’enfance de Victor Hugo. Dans les restes de ce vieux couvent, il a joué avec ses deux frères : Je me revois enfant, écolier rieur et frais, jouant, courant, riant avec mes frères dans la grande allée verte de ce jardin où ont coulé mes premières années, ancien enclos de religieuses que domine de sa tête de plomb, le sombre dôme du Val-de-Grâce (Le Dernier jour d’un condamné). Et lorsque son frère Eugène (le plus proche en âge avec lui) meurt, brisé par la folie qui le tenaille depuis des années, Hugo prend la plume et se souvient des Feuillantines :   […] Tu dois te souvenir des vertes Feuillantines, Et de la grande allée où nos voix enfantines, Nos purs gazouillements,